NOTRE VERGER EST LE POINT DE DÉPART DE NOTRE SOCIÉTÉ

Qu’est-ce la production intégrée ? Pour y répondre, voici à titre d’exemple, quelques pratiques utilisés chez nous.

  • Une haie, et des bandes d’herbes non fauchées : sont de véritables réserves à insectes (et à insectivores) elles sont obligatoires, et fortement utiles pour toute exploitation fruitière en lutte intégrée
  • Des nichoirs à mésange : cette dernière nous est fort utile au printemps alors qu’elle dévore des dizaines de chenilles par jour. Pourquoi dès lors ne pas l’héberger ?
  • Des pièges à insectes : Principalement pour le carpocapse (vers des pommes). Attiré par une phéro-hormone, le papillon mâle est piégé dans de la glue. Non seulement, il ne fécondera pas de femelle, mais surtout il nous renseignera de l’importance de la population et donc des risques de dégâts pour nos pommes.
  • Des perchoirs à rapaces : les buses faucons sont friands des petits rongeurs (taupes, mulots, campagnols qui se nourrissent des racines de nos arbres) un perchoir à quelques mètres d’altitude au dessus du verger leur permet une chasse plus efficace. Pourquoi ne pas leur offrir ?
  • L’herbe au pied des arbres : Aucun désherbant chimique n’est utilisé. Quand il faut mettre le sol à nu, c’est mécaniquement que nous procédons. De plus, en été l’herbe aux pieds des arbres est préservée avec soins jusqu’à la récolte. En effet, l’herbe verte conjuguée à des nuits fraîches améliore la coloration rouge de nos fruits.
  • La lutte intégrée exige de nombreuses observations dans le verger. Il faut suivre le développement des insectes ravageurs comme celui de leurs prédateurs. En cas des risques constatés ou en cas de doute les observations seront intensifiées. Régulièrement des techniciens expérimentés viennent nous aider dans nos choix. Ce n’est seulement qu’en cas de besoin qu’une intervention justifiée sera réalisée. En tous les cas, jamais un produit toxique pour la faune auxiliaire, ou les abeilles ne sera appliqué. Il causerait plus de problèmes qu’il n’en résoudrait.

Nos fruits sont conservés de façon naturelle dans une chambre froide ordinaire. Aucun gaz ou produit conservant n’est utilisé. C’est pour cette raison que ne pouvons pas les conserver plus-tard que mars ou avril, et seulement que pour quelques variétés.

CHEZ NOUS, VOUS POURREZ DÉCOUVRIR :

Du choix :

Afin de répondre à la demande du consommateur, un grand nombre de variétés sont cultivées : en pommes dont Cox’s Orange, Elstar, Belle de Boskoop, Golden delicious , Jonagold, Jonagored, Joseph Mush, Alkmene, Melrose, Reinette de France, Radoux, Idared, Summered, James Grieve, Fuji, Pinova… comme en poires dont : Louise Bonne, Doyenné du Comice, Conférence, Général Leclercq, … Et nous avons aussi des cerises bigarreau noires récoltées en juin/juillet.

De la fraîcheur :

Afin de garantir au maximum la fraîcheur des fruits proposés à la vente, le triage et le conditionnement sont réalisés au fur et à mesure de la demande. De cette façon, nous donnons la priorité à la bonne qualité, et nous vous invitons à y goûter afin de mieux choisir la pomme, la poire ou la cerise qui correspond le mieux à votre goût.

La découverte de notre verger :

Dès votre arrivée vous remarquez le caractère extensif, plutôt qu’intensif de notre exploitation. En vous promenant entre nos arbres, c’est toute la nature que vous embrassez.

Un travail à échelle humaine :

Dans nos établissements, vous découvrez le coté artisanal de notre entreprise, la façon dont le travail humain est réellement valorisé. Un frigo ordinaire, accueille jusque 100 tonnes de fruits en caisses de 20 kg empilées par 12. Une calibreuse permet de trier les pommes en fonction de leur taille. Dans notre magasin, un grand étalage vous propose plusieurs variétés sous différentes qualités.


Haut de la page